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filosofia nova

(J’ai vu jouer en peu de temps[1] quatre ou cinq fois Iphigénie par Talma, Lafon, Mlles George, Duchesnois, Fleury, etc.)

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Iphigénie est peut-être la pièce de Racine qui est le plus contre le système d’Alfieri. Eriphile vient se jeter à travers l’intérêt. Pour Achille ce rôle abonde en développements, ce n’est pas là l’Achille irritable d’Homère, il me semble que Ladislas de Rotrou nous le montre beaucoup mieux, si Venceslas était écrite, comme Iphigénie, tout le monde la préférerait à Iphigénie qui n’a pour elle que la force de la situation et la beauté des vers.

Je trouve qu’Iphigénie est le type du génie de la monarchie. Voilà la tragédie qui plaisait au siècle de Louis XIV. De toutes celles de Racine, c’est celle qui me plaît le moins, j’aime mieux Bajazet. Dans Iphigénie tout le monde bavarde et personne n’agit.

Dès que je serai arrivé à Claix, me jurer à moi-même de ne lire que la nouvelle Héloïse, Pope’s Iliad, le troisième volume de Racine et les dictionnaires de rimes et de synonymes.

  1. 24 floréal XI.