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VIII
PRÉFACE.

filles. Mariages, il est probable que c’est celui que Beyle, nous en avons vu l’attestation de sa main, a été contraint d’enlever à la prière de son éditeur, de son manuscrit de Rome, Naples et Florence. Sans doute ne put-il pas davantage le caser dans les Promenades dans Rome. Il en fit alors don à son cousin Romain Colomb. Celui-ci le plaça scrupuleusement entre guillemets dans son Journal d’un Voyage en Italie et en Suisse pendant l’année 1828, paru chez Verdière en 1833. Il avait pris soin en outre de le faire précéder du petit chapeau suivant : « Tout en prenant quelques instants de repos dans l’église de la Minerve, un ami me donne des détails intéressants sur les distributions de dots à de jeunes filles et sur certains mariages ; voici son récit. »

C’est encore dans le même ouvrage de Colomb qu’on rencontre cet autre chapitre des Brigands en Italie, toujours publié entre guillemets et précédé des lignes suivantes « Notre promenade nous ayant conduits au milieu de ce joli bois qui commence près du tombeau des Horaces, la conversation a roulé sur les voleurs.