dhal-Club, a publié le premier en France la plus notable partie de l’étude intitulée Les Anglais à Rome dont il possédait le manuscrit[1]. Romain Colomb en avait fait faire une copie qu’il comptait glisser dans la Correspondance, comme il a fait pour bien d’autres papiers épars. (D’où la fausse petite lettre-avertissement qu’il traça en tête et qu’Adolphe Paupe a indûment publiée dans son édition de la Correspondance, à la date du 13 novembre 1824.) Mais sans doute s’apercevant à la dernière minute que ces pages présentaient une ressemblance trop évidente avec certaines pages des Promenades dans Rome[2], aura-t-il supprimé le tout.
Ce précieux manuscrit appartient aujourd’hui à M. Gentili di Giuseppe, amateur des plus distingués, excellent traducteur en italien de plusieurs œuvres de Stendhal et collectionneur averti. Je tiens à le remercier ici d’avoir bien voulu revoir pour moi le texte même de Stendhal et de m’avoir obligeamment donné la possibilité de publier ce chapitre in extenso[3].
Pour le chapitre intitulé Dots aux jeunes
- ↑ Cette étude avait paru, traduite en anglais, dans le New-Monthy-Magazine, XIV, juillet I, 1825, pp. 33-39.
- ↑ Promenades dans Rome, édition du Divan, t. I, pp. 241, 291, 310 et t. II, p. 233.
- ↑ Faut-il faire remarquer que ces pages datées de Rome ont en réalité été rédigées à Paris sur les souvenirs que Stendhal conservait de son séjour en Italie en 1823-1824 ? Le manuscrit entièrement de la main de Beyle porte sur son dernier feuillet cette annotation « Fin de la troisième lettre sur Rome, 12 et 13 novembre 1821, 26 pages. »