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en marge de napoléon
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1er Juin [1817][1].
L’insurrection admirable du Br[ésil][2], presque la plus grande chose qui pût arriver, me donne les idées suivantes :
1. La liberté est comme la peste. Tant qu’on n’a pas jeté à la mer le dernier pestiféré, l’on n’a rien fait.
2. Le seul remède contre la liberté c’est les concessions. Mais il faut employer le remède à temps : voyez Louis XVIII.
Il n’y a ni lords, ni brouillards, au Brésil.
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Pensées for the life[3].
(En janvier 1818).
La faiblesse et le gribouillage dans les affaires nous déplaisent si fort que nous en venons à admirer la force et le gouvernement de fer, même employé contre nos libertés.
Dominique.
- ↑ Ce feuillet a été recueilli et relié dans les manuscrits de la Bibliothèque municipale de Grenoble où il forme la page 162 du recueil R. 5806, tome IV.
- ↑ Insurrection du général Frèyre d’Andrade.
- ↑ Copié sur l’original. — Ces lignes ont déjà été publiées par Ad. Paupe : La vie littéraire de Stendhal. Paris, Champion 1914, p. 191. — The life sous la plume de Stendhal signifie : la vie de Napoléon.