Page:Stendhal - Lucien Leuwen, II, 1929, éd. Martineau.djvu/336

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

On voit par l’exagération en noir de ces jugements combien l’âme de Lucien souffrait encore. Rien ne rend méchant comme le malheur. Voyez les prudes.