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M. de Beausobre, M. de Beauséant ; — M. Dévelroy, M. Ducauroy ou M. Ducluzeau ; — le capitaine Minière, le lieutenant Milière ; — M. Crapart, M. Crochart ou M. Camard.

Est-il besoin encore d’affirmer que le manuscrit de Lucien Leuwen, comme ceux d’Henri Brulard, de Lamiel ou des Souvenirs d’Égotisme est rempli d’anagrammes ou de clés, que Beyle n’écrit que the K pour le roi et L pour Louis-Philippe.

J’ai remplacé bien entendu partout tejé, sseme, tolikeskato, sulkon, mentser, chearvê par jésuite, messe, catholiques, consul, serment, archevêque ou encore Touls, randtalley, zogui, 1/3 par Soult, Talleyrand, Guizot, Thiers, — et j’ai traduit de même less that the king par moins que le roi, des teriesplaisan sur un p…age par des plaisanteries sur un personnage et quelque prtr prêchant l’év. à la nechi par quelque prêtre prêchant l’évangile à la Chine.

Il subsiste par contre dans ce manuscrit de petites contradictions que je n’ai pas pu ou pas voulu faire disparaître. Par exemple nous trouvons au début du roman un M. Fléron, préfet de Nancy. Plus tard il n’est plus que sous-préfet. C’est que Beyle avait d’abord situé son roman à Montvallier, petite sous-préfecture dans l’Est de la