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— Adieu, monsieur, dit-il à Bouchard en mettant son cheval au trot ; j’enverrai un lancier prendre le cheval laissé dans votre écurie, et bien le bonsoir.
Il avait aperçu dans le lointain l’immense enseigne des Trois-Empereurs.
« Tout de même en voilà un que j’ai solidement blagué, lui et son juste milieu, se dit Bouchard en riant dans sa barbe. Et, de plus, quarante francs de pourboire à donner à mes postillons : le plus souvent ! »