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par faire don à sa tante de toutes ses belles robes, puis elle promit qu’elle reviendrait dans deux mois et sans avoir manqué à ses devoirs. Enfin, elle conseillait à ses excellents parents de dire qu’elle était partie de leur consentement pour aller soigner une vieille tante malade, près d’Orléans, dans leur pays. Elle rappelait l’invitation de cette tante Victoire Poitevin, riche de 60 louis.