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le comte, si audacieux en apparence, si fier de sa supériorité en tout, reste stupéfait.


Il y a ici une lacune dans la narration[1]. D’après le plan qui suit, on voit que Lamiel, sans doute dégoûtée de la société des d’Aubigné-Nerwinde, et peut-être poussée par la curiosité, a voulu connaître de près les héros voleurs et assassins dont les histoires l’avaient tant captivée autrefois à Carville. (C. S.)


Plan (suite)


Valbayre rouvre la porte un instant après que l’amant de Lamiel vient de sortir ; elle se cache pour lui faire une plaisanterie et voir ce qu’il vient faire ; elle voit Valbayre qui jette un coup d’œil et se met sans délai à ouvrir un secrétaire. Lamiel se

  1. Voir Appendice II, Caractère de Lamiel, p. 314.