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XIII


Toutes les idées sérieuses furent oubliées à l’approche imprévue de cette aimable personne. Fabrice se mit à vivre à Bologne dans une joie et une sécurité profondes. Cette disposition naïve à se trouver heureux de tout ce qui remplissait sa vie perçait dans les lettres qu’il adressait à la duchesse ; ce fut au point qu’elle en prit de l’humeur. À peine si Fabrice le remarqua ; seulement il écrivit en signes abrégés sur le cadran de sa montre : Quand j’écris à la D., ne jamais dire quand j’étais