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journal de stendhal

paraître froids, eussent été charmants, car, la glace rompue, je suis sûr de moi en cela, j’eusse paru dans tout mon avantage.

Que doit-elle penser de moi[1] ?

  1. J’ai perdu les journaux contenant la suite et la fin. Tout cela se termina en six minutes, deux mois après, et je l’ai eue un an de suite, six fois par semaine *. Parenthèse.