l’espérance ; après l’espérance (souvent conçue bien légèrement, car l’on ne doute de rien, pour peu que l’on ait de chaleur dans le sang), après l’espérance, dis-je, on s’exagère avec délices la beauté et les mérites de la femme dont on espère être aimé ».
Pendant que madame Gherardi parlait, je pris une carte à jouer, sur le revers de laquelle j’écrivis Rome d’un côté et Bologne de l’autre, et, entre Bologne et Rome, les quatre gîtes que madame Gherardi venait d’indiquer.
1. L’admiration.
2. L’on arrive à ce second point de la route quand on se dit : « Quel plaisir d’être aimé de cette femme charmante ! »
3. La naissance de l’espérance marque le troisième gîte.
4. L’on arrive au quatrième quand on s’exagère avec délices la beauté et les mérites de la femme qu’on aime. C’est ce que, nous autres adeptes, nous appelons du