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DE L’AMOUR

he at last endure any other ; he grew desperately melancholy, and would go to a mount where the print of her foot was cut, and lie there pining and kissing of it all the day long, till at length death in some months space concluded his languishment. This story was very true. »

Tome I, page 83.
165.

Lisio Visconti n’était rien moins qu’un grand lecteur de livres. Outre ce qu’il avait pu voir en courant le monde, cet essai est fondé sur les mémoires de quinze ou vingt personnages célèbres. S’il se rencontrait, par hasard, un lecteur qui trouvât ces bagatelles dignes d’un instant d’attention, voici les livres desquels Lisio a tiré ses réflexions et conclusions :

Vie de Benvenuto Cellini, écrite par lui-même.

Les Nouvelles de Cervantes et de Scarron.

Manon Lescaut et le Doyen de Killerine, de l’abbé Prévôt.

Lettres latines d’Héloïse à Abélard.

Tom Jones.

Lettres d’une Religieuse Portugaise.

Deux ou trois romans d’Auguste La Fontaine.