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avait retirées. Depuis lors Om-el-Bonain ne cessa de fréquenter cet endroit, et d’y pleurer jusqu’à ce qu’on l’y trouvât un jour sans vie, la face contre terre•[1].

  1. Ces fragments sont extraits de divers chapitres du recueil cité. Les trois marqués d’une • sont tirés du dernier chapitre qui est une biographie très sommaire d’un assez grand nombre d’Arabes martyrs de l’amour.