J’hésite à faire le voyage de Londres. Cela me paraît une folie dans l’état de mes finances.
As-tu lu la brochure de Benjamin Constant ? Si tu la comprends, elle te fera beaucoup de plaisir. On annonce une traduction de Schiller. Ne manque pas de l’acheter.
[Juillet, 1814].
JE pars le 20 à midi. Mon colonel ayant un accident, nous couchons les nuits, je ne serai donc que le 24 ou le 25 à La Tour.
Si tu pouvais ramasser 400 fr., nous irions doucement à Genève de là, par le Simplon à Milan, et tu reviendrais par Turin et le Mont Cenis.
Presse le bâtard par tous les moyens possibles. Adieu.
DOMINIQUE.
1. Paris. — Mme Pauline Périer de Thuélln, à la Tourdu-Pin, Isère.
2. Voir la lettre précédente. Beyle, pir économie, dut voyager avec la suite de l’ambassadeur à Rome.