par heure, donne cinquante-six kilomètres de large ; et un peu plus de soixante-douze depuis le cap Louvoumba.
Le 11 décembre, après sept heures de route, nous nous retrouvâmes au village pittoresque de Zassi. Le 12, nous étions à la charmante baie de Niasanga ; enfin le même jour, à onze heures, ayant passé l’île de Bangoué, nous eûmes devant nous le port de Djidji.
Un vrai sujet de joie m’y attendait : une lettre du consul Webb, datée du 11 juin ; une bonne lettre, contenant des télégrammes de Paris, du 22 avril. « Et rien pour moi ! » s’écria le pauvre docteur. Quelle excellente chose que d’avoir un ami sincère et dévoué !
Notre excursion avait duré vingt-huit jours, pendant lesquels nous avions fait plus de quatre cent quatre-vingts kilomètres.