Page:Stanley - Comment j'ai retrouvé Livingstone, version abrégée Belin de Launay, 1876.djvu/158

Cette page n’a pas encore été corrigée

– Oui, répondit-il, je vais les lire. Il est tard ; bonsoir, et que Dieu vous comble de ses bénédictions.

– Bonne nuit, docteur ; permettez-moi d’espérer que les nouvelles que vous allez apprendre seront au gré de vos désirs. »

Et maintenant, lecteur, que vous savez comment j’ai retrouvé Livingstone, à vous aussi, je souhaite le bonsoir.