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que l’Oudoé, peu d’aussi pittoresques. De grands cônes élèvent au-dessus de la forêt leurs têtes coiffées de légers nuages, entre lesquels un soleil étincelant darde ses rayons, verse des flots de lumière, et tire des globes feuillus, étagés
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/9/91/Stanley_-_Comment_j%27ai_retrouv%C3%A9_Livingstone%2C_trad_Loreau%2C_1884_%28page_203_crop%29.jpg/500px-Stanley_-_Comment_j%27ai_retrouv%C3%A9_Livingstone%2C_trad_Loreau%2C_1884_%28page_203_crop%29.jpg)
sur les pentes, des effets de couleur à désespérer le plus ambitieux des peintres.
C’est, depuis la côte, le premier endroit où le voyageur épris des beautés de la nature soit saisi d’admiration. La route gravit