frappe ! Où est-il ce monstre qui m’a trompé, cet infâme Golo ?
Seigneur, sa tombe est sous vos yeux.
Il ne vit plus. Qui donc reste-t-il à punir ? qui ? moi, moi seul ! Geneviève est innocente, et j’ai voulu sa mort ! et pendant dix années elle m’a fui comme son assassin ! Je n’ose embrasser ses genoux. Mon fils, prosternez-vous aux pieds de votre mère.
Juste ciel ! ma mère !
Viens dans mes bras, mon enfant.
Que vois-je ? la prédiction est accomplie : ma fille est dans ses bras, Adolphe embrasse sa mère ! Je puis mourir.
Ô mon père ! secourez-la. Ce n’est pas pour elle que la vie est nécessaire. Ah ! cet ange ne sera bien que dans les cieux. Mais moi, quel asile me resteroit-il sur la terre et au-delà de ce monde, si la mort me l’arrachoit, la mort