Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/71

Cette page n’a pas encore été corrigée

64 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. attendissent plus patiemment le roman de de M. Théophile Gautier. Enfin, la Gazette de Paris l’annonçait encore, à partir du 49 mai 1872, jusqu’au moment de la mort du grand poète. Cette nouvelle devait avoir quelque analogie avec ses deux récits antérieurs Laquelle des deux ? — et les Roués in- nocents, si nous en croyons certain article ano- nyme du Journal des Débats du’17 7 novembre 1880, que, sans crainte d’erreur, nous croyons pouvoir attribuer à M. Henry Houssaye, fils du directeur de l’Artiste, de là Revue du xixc siècle et de la Gazette de Paris. L’article a trait au roman de la comtesse Julie Apraxin l’Une ou l’autre, et débute ainsi L’Une ou l’autre ! Le héros du Dénouement turc, cette nouvelle que Théophile Gautier n’a pas écrite quoiqu’il y ait souvent sonaé, aurait dit l’une et l’autre ! Gautier voulait mettre en scène un Parisien du meilleur monde qui, amoureux de deux jeunes filles, se faisait Turc pour les épouser toutes les deux. » Si la Revue de Paris ne publia pas cette