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54 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. de la langue Beaucoup de cruautés, de part et d’autre, n’auraient pas été commises si l’on avait pu s’entendre. 1) Une sorte de malchance s’est attachée aux récits de voyages de l’écrivain, qui, pour la plupart, ne sont pas terminés. Sauf l’Espagne et la Russie, d’où le lecteur revient en France avec l’auteur, ses excursions en Afrique, en Italie, en Grèce, en Suisse et en Egypte sont toutes res- tées inachevées, et les lecteurs des Trésors d’art de la Russie n’ont pas vu non plus le mot fin, écrit au bas de la dernière page de l’œuvre. XII La France musicale du Il octobre 1846 pro- mit un article intitulé Promené, ou la musique imaginaire, qui ne parut jamais et dont nous ne connaissons nulle autre trace. Cette même année, un journal illustré, le Journal du Di- manche, avait promis aussi le Bal, et la Presse du 14 décembre 1846, renchérissant sur ce