Page:Spoelberch de Lovenjoul - Les Lundis d’un chercheur, 1894, 2e éd.djvu/244

Cette page n’a pas encore été corrigée

UNE PAGE DE aI. TIIIERS. 237 ceau pour l’al6um qu’on lui présentait, et que cette page est un premier jet. Ce sont ses Embarras de Paris ; quand il fut ministre de l’Intérieur et des Travaux publics, il mit ordre à cela. p Il nous a semblé intéressant de livrer tout entière aux curieux cette page de jeunesse, tombée de la plume d’un homme dont le rôle et l’influence furent ensuite si considérables. Ce n’est, il est vrai, qu’une des miettes dont nous parlions au début, mais nous avons compté sur les gourmets littéraires pour en apprécier la saveur relative. Novembre 1888.