Cet Amour envers Dieu est le bien suprême que nous pouvons appéter suivant le commandement de la Raison (Prop. 28, p. IV), il est commun à tous (Prop. 36, p. IV), et nous désirons que tous s’en épanouissent (Prop. 37, p. IV) ; et ainsi (Déf. 23 des Aff.) il ne peut être sali par une affection d’Envie non plus (Prop. 18 et Déf. de la Jalousie dans le Scolie de la Prop. 35, p. III) que de Jalousie ; mais, au contraire (Prop. 31, p. III), il doit être alimenté d’autant plus que nous imaginons que plus d’hommes s’en épanouissent. C. Q. F. D.
Nous pouvons montrer de la même manière qu’il n’y a aucune affection directement contraire à cet Amour, par laquelle cet Amour puisse être détruit ; et nous pouvons en conclure que cet Amour envers Dieu est la