humain est ainsi affecté, l’Âme humaine (Prop. 12) considérera cette affection du corps, c’est-à-dire (Prop. préc.) aura l’idée d’une manière, d’être actuellement donnée qui enveloppe la nature du corps extérieur ; en d’autres termes aura une idée qui n’exclut pas, mais pose l’existence ou la présence de la nature du corps extérieur, et ainsi l’Âme (Coroll. 1 de la Prop. préc.) considérera le corps extérieur comme existant en acte, ou comme présent, etc. C. Q. F. D.
Si le Corps humain a été affecté une fois par des corps extérieurs, l’Âme pourra considérer ces corps, bien qu’ils n’existent pas et ne soient pas présents, comme s’ils étaient présents.
Tandis que des corps extérieurs déterminent les parties fluides du Corps humain à venir frapper contre