Page:Spaddy - Colette, ou les amusements de bon ton, 1937.djvu/96

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
79

mant minois abandonné sur mes couilles, Arlette jouait avec mon vit dans sa bouche.

— Eh bien ! Tantine, demanda-t-elle, est-ce à mon tour ?

— Certes, répondit celle-ci, je pense bien qu’il va te baiser. Mets-lui seulement le vit en forme.

Et s’adressant à moi :

— Tu n’auras pas son pucelage, car je le lui ai pris des deux côtés, mais tu seras son premier mâle.

— Je suis à vos ordres, Mademoiselle. Voilà deux jolis pertuis qu’il y aura plaisir à fourgonner, déclarai-je en y plantant la fourchette du pouce et de l’index. Ils me tentent également l’un et l’autre.

— Mon cher, intervint Colette, comme tu n’as certainement plus assez d’appétit pour ces deux gourmandises, nous allons nous les partager.

— Du moins, insista Arlette d’un air ingénu, que Monsieur se réserve le minet. Il me tarde d’être complètement femme ! D’ailleurs, n’as-tu pas une préférence pour le cul ? Alors, comment nous mettons-nous ?

Le chiendent, c’est que je ne bandais plus. J’amusai un instant la nervosité de la jeune fille en lui muguetant alternativement le con et le cul dans la posture de levrette, pendant qu’elle-même rendait à ma maîtresse semblable office. Mais il fallut qu’elles se missent à deux pour me redonner vigueur. Colette qui connaît tous les artifices