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notre agitation à jouir, Nadèje perdant l’équilibre sous le poids de Colette, nous nous effondrâmes tous les trois sur les genoux, à la seconde où partait mon effusion. Elle s’étala en larges taches sur les mollets de la gosse dans la contraction dont l’anus endolori venait d’expulser mon gland comme un bouchon.

— Ah ! si c’est cochon ! sur ses bas ! sur ses bas de soie ! exultait Colette qui y plaqua avidement sa bouche. Est-ce assez salaud, ce foutre sur l’innocence de ses jolis bas roses !

Puis, tandis que j’écrasais entre les lèvres de la mignonne, prostrée sur le tapis, la dernière perle de mon sperme, à large traînée de sa langue, Colette lui lapait passionnément la meurtrissure du cher trou du cul.

 

Quand nous eûmes déposé Nadèje à sa porte, Colette donna à son chauffeur l’ordre de nous mener à Chatou.

— Mon cher, me dit-elle, ça me démange à n’y pas tenir. Il faut que j’aille jouir !

— Encore ! mais tu en sors !

— Oui, mais jouir en plein air, sur l’herbe, au soir qui tombe, et des yeux sous mes cuisses ! Ah ! tu ne sais pas ce plaisir ! Oui, lorgnée d’en bas par les gens qui canotent, sur la berge… et se payent la vue de mon con !

— Cette fantaisie, sur les peaux de saucisson et