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trer mon con que ta mère a tant de fois bouffé… ce gentil conin, avec le joli petit trou qui est par-dessous ?… Baisse-toi… Tiens, zieute-le !…

Elle replia une jambe sur l’épaule de René, se tourna de côté pour dégager la raie du derrière dont sa main débusqua la rosette de bistre.

— Baise, mon chéri… Baise le petit trou du cul !…

Il colla sa bouche à la brèche profonde et embrassa longuement sous les roulades cristallines de Colette.

Puis, s’étant remise sur le dos, cuisses écartées :

— À présent, mignon, jouons au chat et à la souris, hein ? File-lui ta langue au minet…

René inclina son blond visage de chérubin sur la toison rutilante, et joignit ses lèvres à celles de la vulve dont Colette faisait, d’un index, saillir la pourpre.

— Oh ! si ça sent bon ! bredouilla-t-il.

Quoique fort excité, je commençais pourtant à être mordu au cœur par ces familiarités qui me semblaient aller un peu loin.

— Alors, quoi, protestai-je, tu vas aussi te faire baiser par lui, à ma barbe ?

— Pardi ! cette question ! répliqua-t-elle avec aplomb, sans quitter des yeux la tête bouclée qui s’agitait entre ses aines… Bien sûr, qu’il me baisera, le petit !… En attendant, branle-le !…

Je m’indignai.