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V. — Poésie personnelle et directe en même temps qu’universelle. — Simplicité, soumission aux choses. — Les symbolistes seuls poètes vrais. — Le sensibilisme naturien 44

Le poète est celui qui pense par les sens.

Notes 129

La beauté du vers selon Tristan l’Hermite. — Le sentiment remis en honneur par le symbolisme. — Les manifestes, simples actions en retour.

Son influence 46

Influence heureuse et considérable. — A imprégné les autres arts. — « Idéoréalisme ». — A soutenu la poésie pure 47

La grande expansion au dehors. — L’influence romantique et l’influence symboliste par deux manières opposées. — Les romantiques sur des tréteaux. — Hernani, grossier tapage. — Comment on fabrique une victoire. — Les deux théâtres originaux du xix« siècle : Alfred de Musset et Maurice Maeterlinck 50

Nos contacts avec le « grand public » réussirent. — Hostilité de la presse et des revues. — Editeurs romantiques et éditeurs symbolistes 52

La cascade romantique et la source symboliste.

La technique 53

Nécessité des préoccupations techniques. — L’empirisme romantique. —Discussions publiques, faits de conscience. —Levers libre, trouvaille ou abomination. — Il n’y a pas de vers libre 55

Etiquette d’usage. — La valeur en art du terme loi.

Destruction des clichés. — I. Le vers libre répond à des conditions physiologiques et scientifiques exactes. — Ses bases historiques : dans ses rapports avec la langue, avec l’accent, avec les coupes tradition- nelles du vers, avec les mesures impaires, avec les formes dépassant douze syllabes. — Renoue, contre la préoccupation étrangère du mètre, la tradition française du rythme 56

II. — Ne détruit pas l’alexandrin, le met à sa place 59