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comme de sources pures qui doivent vivifier et rajeunir le lyrisme de France. Et l’on ne s’aperçoit point que les poètes dits « symbolistes » (d’un beau nom vague à multiple signification, mais suffisant, en dépit d’incompréhensions nombreuses et de quelques défaillances, à unir, comme jadis l’épithète « romantique », d’un lien libre et fort les plus contradictoires noblesses d’esprit) sont ceux qui, précisément, ont su le mieux faire profiter l’art de l’enseignement populaire.