du poète au point de vue de la création imaginative, au point de vue de la langue, au point de vue des combinaisons musicales.
Auraient suivi : Le Décor Antique Et L’imitaTion Créatrice ; puis Le Renouveau Sensualiste ; puis Les Droits Du Mystère ; enfin, deux ou trois autres, dont il n’est pas utile encore d’indiquer les sujets.
Nous ne renonçons pas à écrire ces diverses études ; mais nous croyons nécessaire d’en retarder de quelques années l’exécution. Beaucoup d’œuvres décisives restent à naître encore dont on pressent l’éclosion proche ; ces études gagneront à les attendre. Le poète d’ailleurs ne peut mieux servir son art et ceux qui en confraternité le grandissent qu’en obéissant surtout à ce qu’il se doit à lui-même. D’aucuns exagèrent ce scrupule ; ils s’imaginent que leurs conceptions seules enfantent la vie. On est loin d’avoir étéaffligéde cette