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ne doit songer qu’à soi-même, soi-même oublieux de tous les siècles et de tous leurs mythes et s’ériger en personnage légendaire, dominateur ainsi des temps, dans une atmosphère indéterminée. Par cette idée, je m’accorde entièrement avec M. Albert Mockel.

traditions héroïques de la race. C’est là, je crois, un legs de cette littérature latine qu’une parenté de langage nous imposa trop longtemps. Nous ne provenons certes pas uniquement des Latins, mais comme ils pèsent encore sur nous ! Rome faisait des vers selon la Grèce et nous faisons des vers selon Rome… » (Propos de littérature, p. i22.)