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nerfs, de nos chansons, et dont M. Paul Fort luimême du reste donne maintes fois de parfaits exemples. Si sa poésie est «une simple», elle l’est moins que celle des poètes dont nous nous occuperons tout à l’heure, qui, en s’inspirant de la spontanéité populaire, l’ont suivie de plus loin, plutôt comme une de nos pastourcs que comme une de ces tsiganes qui tricotent d’un pas effréné leurs danses primitives, l’esprit plus que le cœur restant simple sous les battements fébriles, sous les bruissements, les frissonnements d’une sensibilité suraiguë.

ERRATUM :

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Au lieu de : « Plutôt comme une de nos pastoures…

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