Cette page a été validée par deux contributeurs.
Enfin, il a fallu se séparer, non sans de nouveaux remercîments de la part de l’heureuse famille.
Je suis revenu à petits pas, savourant à plein cœur les purs souvenirs de cette soirée. Elle a été pour moi une grande consolation et un grand enseignement. Maintenant les années peuvent se renouveler ; je sais que nul n’est assez malheureux pour n’avoir rien à recevoir, ni rien à donner.
Comme je rentrais, j’ai rencontré le nouvel équipage de mon opulente voisine. Celle-ci, qui revient aussi de soirée, a franchi le marche-pied avec une impatience fébrile, et je l’ai entendue murmurer : Enfin !
En quittant la famille de Paulette, moi, j’avais dit : Déjà !