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les derniers bretons.

» Ô misérables calomniateurs ! partout où vous allez, la souffrance vous suit. La peste est douce près de vous. Vos paroles excitantes seraient capables de mettre les pierres à se manger entre elles.

» Mais vous que j’aime, oh ! soyez fidèle, et je le serai ; soyez fidèle, et les langues méchantes ne pourront rien pour nous séparer, nos cœurs seront comme un roc dans la pleine mer au moment de la tourmente.

» La pierre fondamentale de l’amour a été posée entre nous, grâce à Dieu ! Vous êtes sage, ma maîtresse, et, vous le savez, pour vaincre il faut savoir combattre. »


sône.

« L’un d’eux était un jeune garçon et l’autre une jeune fille, et ils vinrent tous deux