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les derniers bretons.
les trégoat.
« Ce fut auprès de la croix de Kerrousy qu’arriva le malheur (si grand, hélas !) : Jean Guilchen et sa femme y furent tués. Une nièce était avec eux, une nièce âgée de quinze ans.
» Quelqu’un cria, en frappant à la porte, et demanda du feu pour allumer sa pipe ; Jean Guilchen vint ouvrir avec un tison à la main. Hélas ! il ne savait pas, en ouvrant la porte, qu’il ouvrait à la mort !
» C’étaient des hommes qui venaient par vengeance. Au moment où Guilchen parut, ils le frappèrent si malheureusement, qu’il tomba la face sur terre. Il était là, ce pau-