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les derniers bretons.

» Deux jours après ce miracle d’exemple, il y avait dans la maison trois bénitiers devant trois châsses, et le père, la mère et le fils dormaient dans celles-ci ! »


Les guerz de l’Homme qui ne mange pas et de Saint-Nicolas sont plus bretons peut-être, plus neufs dans leur pensée première ; ils semblent appartenir davantage à la vie positive par leurs détails et par leur moralité ; c’est, si nous osons nous exprimer ainsi, du fantastique plus pratique et plus réel ; on va en juger.

l’homme qui ne mange pas[1].

« Esprit saint ! viens enflammer mon âme, je vais chanter un cantique aux Bretons ; je

  1. Ce guerz a été imprimé par M. Lédan, imprimeur-libraire. à Morlaix.