Page:Souvestre - Les Derniers Bretons (tome 1), 1836.djvu/51

Cette page a été validée par deux contributeurs.
xlv
introduction.

ché de montrer la Bretagne sous son aspect topographique, j’y ai encadré le peuple qui l’habite avec ses mœurs, ses usages et ses croyances. J’ai donné les traditions religieuses de ce peuple ; je me suis efforcé de montrer d’où il était parti et où il était arrivé.

Dans la seconde partie, suite nécessaire de la précédente, j’ai fait connaître les poésies populaires des Bretons. Les poésies populaires d’une race sont toute sa religion, toute sa civilisation, toute son âme ; c’est pour elle ce qu’est la parole pour l’enfant, une révélation naïve et complète.

Enfin, dans la troisième partie, j’ai