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TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

façon réllexe sous l’influence des excilutions périphériques ou des émolions. Dans le trisius, les sanglots délerminent l’ouverlure de la mächoirc, 1373-79. J’héorie de BuissauD sur le rire et le pleurer spasmodiques. Gomme le rire el lo pleurer, le bäillement peul être psychique, réflexe, spasmodique. Acles à mécanisme préélabli. Spasmes grimacanls par lésion irrilalive du bulbe soustrail à l’influence régulatrice des excilations corlicales transmises par la couche oplique, Mélange du rire et du pleurer dans la sclérose amyotrophique ou maladie de Cuancor. Le thalamus, centre de coordination réflexe de Lous les jeux allectifs de la physionomie. Une lésion uni ou bilatérale du segment antérieur de là capsule inlerne où passe le faisceau psychique issu de la région préfrontale abolil la slimulalion volontaire, consciente, de la inimique émolive d’un cèté ou des deux cèlés de la face. De mème après lésion bilatérale du faisceau géniculé de la capsule interne. Aclivilé déréglée des noyaux moleurs bulbaires mis en jeu par les centres de coordinalion réflexes, thalamiques de la mimique. Le rire bulbaire. Dans lous les cas, interruptions de la voic volontaire, ou’ d’arrël. corlico-Lhalamo bulbaire, 1375-55. — Le rire el le pleurer spasmodiques dans la démence postapoplectique. Obscrvalions cliniques et analomopathologiques de Minaazzixt, 1378. — L’émotivilé, la facilité à pleurer, gémir, rire de l’enfant, de la femme, du vicillard, des involuants résulle de l’évolulion incomplète ou de l’involulion progressive des centres corlicaux el des faisceaux d’association dont l’action régulalrice ou le pouvoir d’infibition s’exerce sur le thalamus et ses réflexes émolifs. Démence paralytique. Dans les ramollissements encéphaliques, exposants d’une altéralion difluse du cerveau, aflaiblissomentou perle de l’action inhibitrice du neurone corlical glosso-facial sur le thalamus. Rire ou pleurer spasmodiques par ramollissements circonscrils du segment antérieur de la capsule interne, 1359. — Von Moxaxow. Rôle du thalamus dans l’ensemble du système nerveux central. Une partie de l’arc réflexe du rire el du pleurer émolifs a son siège dans la couche optique. Foncl’ons de sécrélion. do vaso-motricilé, cle., localisées dans la couche optique. Mécanisme des mouvements réflexes du thalamus dans les mouvements choréiques el la mimique émotive, 1359-82.

CENTRES SENSORIELS (CENTRES SENSORI-MOTEURS). YISION. AUDITION. OLFACTION. Aperçu général de la structure histologique des organes périphériques des sens. Rerzius. LExnossek. Rasox v Casa. Vax Gunveurex. Origine phylogénique commune du système nerveux sensilif cl sensoriel. Le système nerveux sensoriel des Verlébrés rappelle la structure du système nerveux sensilif des Invertébrés. Organe de l’odorat. Organe de l’ouïe. Slade intermédiaire entre l’organe de l’odoral el les organes du lact el du goût : les cellules d’origine du nerf cochléaire se soul éloignées de l’épithélium et rapprochées du névraxe, 1383-84. — Organe du tact. Organe du goût. Organe de la vue. Tous les proloneurones, sensitifs ou sensoriels, sont des cellules bipolaires dont les prolongements périphériques et centraux n’ont que des rapports de conliguïlé avec les éléments anatomiques à proximité de leurs ramificalions, 1385.

n. — Travaux conlemporains sur Le centre corlical, les centres primaires el les faisceaux de projection de la vision, 1385-80.

Modes de connexion de la rétine avec les centres optiques primaires. — Origine el lerminaison des fibres du nerf optique ou fibres réliniennes (ef. fibres olfaclives, fibres audilives, ele.), 1386-83. — Cellules visuelles de a rétine : cônes el bâlonnets. Pourpre rélinien. Vision de la lumière el des couleurs. Knres. Pamixaub. Cellules bipolaires. Cellules ganglionnaires. Spongioblastes et fibres centrifuges du nerf oplique. Constitution des bandeletles opliques : fibres opliques croisées el direcles, fibres pupillaires, fibres maculaires, croisées el directes, fibres centrifuges, 1387-90. — Région de la vision dislincle et du reste de la réline. Conduelion des impressions de la fovca centralis ; nombre de ses cônes. Kuxr et Worrenénc. Connexion de chaque région maculaire avec les deux hémisphères. Persistance de la vision centrale où maculaire dans l’hémianopsie ; la ligne de démarcalion séparant la moilié aveugle du champ visuel de l’autre ne passe pas par la ligne médiane. Varialions dans le mode d’entrecroisement des faisceaux maculaires comme dans celui des faisceaux croisés el directs des pyramides, 13g0-gt. — Centres opliques sous corlicaux, relais nucléaires des fibres réliniennes. Mode de distribution des fibres réliniennes dans les lobes optiques des Oiseaux, 1392 93. — Conditions hislologiques de la fonction psychique de comparaison des impressions transmises à des groupes enliers de cellules par une seule fibre rétinienne. Condilions analomiques de la vision centrale el des parties périphériques de la réline, 1393-94. — Cellules d’origine el trajet des fibres centrifuges du nerf oplique. Wenuxicke, Moxakow, Ramos y Casaz. Fibres rélino-motrices d’Exégimaxn. Mouvements des cônes, elc., sous l’influence de la lumière et du système nerveux central. Nausmacnen. Goreu el House, 1395-96.

Des centres primaires optiques à l’écorce du lobe occipital. Territoire calcarinien et rétine corticale. — Corps genouillés exlernes. pulvinars des couches optiques. lubercules quadrijumcaux antérieurs. T’erriloire calcarinien de la rétine corlicale. Iexseuex, 1396-98. — Critique des Théories anciennes sur les centres de la vision. Le lobe pariélal inférieur (P2. pli courbe) n’a pas plus de rapport avec la vision directe des impressions lumineuses el chromaliques que le pulvinar, les lubereules quadrijumeaux, ete. chez l’homme, Hypothèse ancienne de la loculisalion de la sensibilité générale duns les régions du lobe occipital reconnu comme centre de la vision. Fennien, Cuancor.