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TABLE ANALYTIQUE DES MA TIÈRES

ihéories futures de l’embryologie, 205. — Analomie générale. Tissus el organes, 205-7. — Analomic descriplive ol analomie comparée. Physiologie comparée. Psychologie comparée, 207. — Aucune trace chez Anisrore du système nerveux cenlral, 208 ; 283, 285. — Connaissances d’Atsrore en analomic, 207-8 ; en physiologie : pas de viviseclion de mammifères ; en zoologie, 210. — Mode de composilion des grands truilés de biologie d’Aursrore, 210-117.

Finalité de la nature. — Conception du monde et de la vie de l’homme. — Théories humorales et Doctrine des tempéraments — Les dégénérés supérieurs. — Folie épileptique et génie. — Histoire de la civilisation, 12-248. — L’organe ct la fonction. Le Loul esl nécessairement antérieur à la partie. Les orgäncs n’existent que pour les fonclions, non les fonctions pour les organes, 213-215. L’ails d’adaptalion des fonclions aux organes, 216-217. — L’espèce ct l’individu, Invariabilité des espèces, 217% ; 299. — Ethologie d’Auisrore, 418. — Le mal, la laideur el la douleur dans le monde, 219-221, — Point de sensalion qui ne soil accompagnée de douleur ; ellet de l’accoulumance sur celle douleur, 221. — Tempérament mélancolique des grands hommes. poètes, arlisles, savants, philosophes, 222. -— C’est à un excès de bhile noire qu’esl dû le génie. Maladies relevant de celle étiolugie : épilepsies, elc., phobies, obsessions, impulsions, suicide sans cause connue. Ellets contraires résullant du degré de chaleur ou de froid de la cräse de la bile noire : ceux chez qui ja bile est abondante et chaude sont gais, émolifs, maniaques, celle chaleur étant trè$é rapprochée du siège de l’intelligence, c’est-à-dire du cœur, 222-223. — Les mélancoliques sonl déséquilibrés parce que les elles de la bile noire, très froide ou lrès chaude, sonl irréguliers el instables ; ils sont supéricurs aux autres hommes, non par l’effet d’une maladie, mais par nature. Dégénérés supérieurs ou « anormaux ». Folie épileplique et génie, 223-224. — Les théories humorales et la doctrine des teimpéraments rapprochées des théories modernes su les dégénérescences du syÿslème nerveux, Dégénérés épileptoïdes el vésuniques, 225. — [a morl, refuge de la vie, 226-229. — Ascétisme grec au ve siècle, 230. — Science el idéalisme, 231-233. — Hécésias Pisithanate ; contagion du suicide. Les Cyniques. « capucins de l’antiquité », 233-235. — Téralologic et dysléléologie, 236. — Biologie du mäle el de la femelle dans la série animale. Le caraclère de l’animal dépend des dimensions, elc., du cœur, 23 :.

— Psychologie physiologique comparée du mäle el de la femelle, 238-240. — L’animal politique. Chasse aux esclaves el aux fauves. La guerre est l’élal nalurel des êtres qui vivent dans l’eau, dans l’air el sur la Lerre. La lulte pour l’exislence, 24 1. — La cilé, 242. — L’homme qui ne vit pas en société esl une brule ou un dicu, 243. — L’homme polilique doil ètre psychologue, 243. — Changements lents el continus des mers el des continents ; influence de ces changements sur la civilisation, 243-246.

— Galaclysmes périodiques. Débris des civilisalions disparues survivant dans les mots, les croyances, 347. — Anciennes civilisalions ; l’Egypte, 248. — Les premicrs hommes, qu’ils fussent nés de la lerre ou cussen£ échappé à quelque grande catastrophe, élaient à un élal inférieur de l’intelligence, 248.— Le religions sont des fables pour persuader la mullilude, venir en aide aux lois, servir l’inlérêt commun, 248.

L’École d’Aristote. — Tuévrnnasre. Physiologie végétale. Minéralogie. Essais sur le « verlige », la « faligue », etc., 248-249. — AnsroxÈxe ; l’acouslique. Dicéanque ; le corps csl l’âme, 250. — Srnarox de Lampsaque. Identité de la sensation et de la pensée ; point d’intelligence séparée. Le principe de la sensibilité est non dans le cœur, mais dans la région frontale de la lète. L’altenlion. Illusion localisalrice des sens, 250.

Psychologie physiologique des stoïciens, 250-252,

École d’Alexandrie. — HénorniLe et Enasisrnare. Pnaxaconas, Euvèue. L’analomie et la physiologie expérimentale deviennent les fondements mèmes de la science de la vie. Dissection des cadavres d’hommes el autres mammifères. Pralique des viviseclions, peul-être sur les condamnés à mort, 253-254 ; 265. — Hénornn.x. Nerfs du mouvement el du sentiment ; leur origine de l’encéphale el de la moclle épinière ; le calamus seréplorius ; les plexus choroïles ; les sinus veineux de la dure-mère ; le forcular où pressoir d’Hénornn.e. Le cervelel (parencéphale) et le IVe ventricule, 254 5 282. — Lnasisruare, Nerfs de sensibililé et de mouvement. Opinions successives sur leur origine (méninges, matière médullaire du cerveau), 255 ; 283. — Descriplion du cerveau, semblable à l’intestin jéjunum. du cervelet (encrane), dont les plis sont d’une complexilé plus grande que ceux du cerveau, des circonvolulions cérébrales, des ventricules. Morphologie comparée de l’encéphale en général el de la surface du lélencéphale en particulier, L’homme a le cerveau Ê plus irconvclutionné parec qu’il dépasse de beauconp lous les aulres animaux par son intelligence, 253-250 ; 270-271. — Pathogénie des convulsions de l’hystérie, 441. — Le preuma ou air vilal et le pneuma psychique. 256. Rurcs d’Ephèse, 206-257. — Llal des connaissances de la structure el des fonctions du corveau à la limite des rer et ne siècles de l’ère chrélienne.

GatEx de Pergame, 259-309. — Le principe des nerfs n’est pus dans le cœur (Amisrors, 284 sq.), mais dans le cerveau (PLarox el Uivrocuate), Expérimentation physiologique el observation clinique. Pratique consommée des vivisections, La chirurgie de l’encéphalo (trépanations, ele.) fournit à GauEx la malièro de vérilubles expériences de physiologie sur l’homme, 260 ; 339. — Recherche de l’utilité. au mous autant que de l’usage, des parlies des animaux, 261. — Raisonnement à propos des deux