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TAULE ANALYTIQUE DES MATIÈRES

de l’incorporel el du corporel, du spirituel el du malériel est étrangère à l’antique philosophie naturaliste des Elellènes. Senlir el pensor soul la mème chose. La nalure de la pensée, résultante de l’organisme, dépend de celle du mélange ou eräse des deux éléments consliluant les organes du corps, 33, — “out ce qui existe sent, perçoit, connail. Les sens el l’entendement, 46. Euvénouze d’Agrigente. 36-47. — Identité de la sensation el de l’intelligence. Condilion de la connaissance : le semblnble ne peut être connu que par le semblable : identité ou analogie substan-Liclle du connu et du connaissant. 36-47. -- Doctrine des qualre éléments. incréés. impérissables, ctornels. Rien ne vient de rien. 48. — Tout, à l’exceplion des éléments, mème les dieux, est soumis à In naissance el à la mort. Les quatre phases du circulus cosmique. Elat primitif d’indiflérence (sphaerus) : désinlégralion el inlégralion périodiques sous l’action de deux forces cosmiques anlagnnistes, 38-59. — Hypothèse moderne de l’allraclion el de la répulsion. Newrox, Kaxr, 39. — H n’y a que mélange cl séparalion des éléments. Genèse ou évolution des organismes. Concurrence vitale ct sélection nalurelle. Adaptalion. Charles Danwix, Lamanck, Dünnine, 40-43. — Crilique générale par Ausrote du Lransformisme des anciens physiologues el en particulier de l’hypothèse de la segmentation du rachis en vertèbres. 42-43. — Causes acluelles et causes finales. [ylozoïsme d’Esrévoucrr. Toutes choses sout dauées d’intelligence. Point de distinction d’esprit et de malière, d’âme el de corps. 44.

— Lo sang : l’intelligence y a son principal siège, surloul le sang du cœur. foyer principal de la vie. 44. — La nature du caractère el de l’intelligence dépend de celle du mélange des éléments ou de la conslitulion du corps. Idiotic. imbécillilé. folie. Physiologie des organes des sens. Rapports de la respiralion et de l’olfaction. Audition. Vision. Sens des couleurs. Animaux diurnes el noc-Lurncs, 43. — Crilique de l’optique d’Eurévoce par Anisrore, 43-46, — Les fonctions des sens. l’intelligence el la lempérature du sang. Le sommeil. Le plaisir el la douleur, Théorie de la connaissance, Élroiles limiles imposées à la science de l’homme, 4 :.

Axaxacone de Clazomène l’Athée. 43-58. — Cosmologie. Les semences ou germes des choses (homœoméries). La somme des éléments élernels demeure constante dans l’univers. Affinité des corps à parlies similaires Agrégation et désigrégation. Rien ne nait nine périt en réalilé : la production d’une chose résulte d’un mélange des éléments. sa fin de leur désagrégalion. Hylozoïsme. L’Tntelligence cosmique, subslance étendue, pénétrant les êtres et les choses à la manière d’un fluide, cause motrice de l’univers. Point de cause finale, 48-41. — Criliques de Socnare, PLarox, Ausrore, Dünnixe, 30.

— Origine des plantes el des animaux. Généralion spontanée, 51-52. — Organes périphériques des sens ef organe central des perceplions : le cerveau. slalion terminale de cet ordre de processus. Théorie des sensalions. Le semblable ne saurait être allecté par le semblable. mais le contraire par le contraire. Toule sensalion est une allération du sujel. une souffrance, une douleur (sommation des excilalions). 53 : #21. —Respiralion des poissons. La bile et les maladies aiguës. Théorie du sommeil, 53-34. — Fonclions psychiques des végétaux, 53. — L’homme est le plus intelligent de lous les animaux parce qu’il a des mains. Crilique d’Ânisrore, 55-56. — lPhénoménisme d’Axaxacone. Nature de la science, 27-98.

Diouëxé d’AvoLLonte, 58-51. — Conceplion hylozoïste de l’univers. AxaxIMÈxEe. De l’air. principe des choses, subslance de l’univers élernel, tout esL sorti par condensalion et raréfaclion (lerre, cau. feu. elc.), processus consliluant la cause motrice du monde, 59-61. — Diversité des intelligences correspondant aux différentes sorles d’air, c’esl-à-dire aux diflérents étals de ce corps simple. 62-64.

— Cosmologic. Généralion spontanée des plantes et des animaux. Transformisme. 64. — Unité de substance, 65. — Unité de l’esprit et de la matière, 66. — Respiralion des minéraux. des végélaux el des animaux, 63. — Animalion du nouveau-né ; l’air vital, mêlé au sang. plus chaud el plus sec que celui de l’almosphère, 68. — Description anatomique du syslème cardio-vasculaire. 68-69. — Rapports du sommeil el de la mort avec l’aéralion du sang circulant dans les veincs. L’encéphale, siège des sensalions, 50. — Plaisir et douleur ; émotions el afleclions morales. Sommeil, ivresse, digeslion laborieusc. Les maladies mentales suite de la surabondance de l’humide et du dense sur le sec el le chaud. Nature de l’intelligence de l’enfant, des quadrupèdes, des oiscaux, des poissons, des végétaux, 1. Déuocurre d’Abdère el l’Alomisme, 52-101. — Matérialisme de Démocnre el immatérialisme de Beukezey, 53. —- Conslilulion de l’être ou de lu malière, 74. — Luvewrre, L’atome et lo vide. Les schémas. Critique de Dénmxe. 55. — Critique d’Antsrore. 56. — Les plantes el les animaux sont nés spontanément du limon de la terre, 77. — Le mouvement des alomes dans le vide n’a jamais commencé :

chute verticule des alomes. La pesanteur, unique force motrice de l’univers Les tourbillons de

maliëre cosmique, origine des mondes innombrables -3 38. — Propriétés ohjeclives ou primaires des corps. La forme ou la figure des alomes, leurs modes d’agrégalion et leur silualion dans l’espace. Schémas ulomiques absolument irréductibles aux sensalions (vue. ouïe, etc.) résultant de ces consiructions géométriques el de ces événements mécaniques, 59. — Levcirre el Déuoenrre, ct la Uhéorie de l’évolution mécanique de l’univers de Kaxr el de Lariace, 59 So. — Principes de la physique. de la chimie et de la bivlogie modernes. 81. — C’est par l’échange de malières qu’exige la respiralion que sentrelient la vie, l’âme ou l’intelligence des animaux el des végélaux. Atomes vilaux cl alomes psychiques, de mème nature que Île feu. Rapprochés par Dénnixe de ceux de l’oxygène almosphérique. Chaleur el lumière, 83-83, — Le siège de la pensée est dans le cerveau, ceux de ln colère et du désir dans le cœur et dans le foic. Nolions analomiques sur le cerveau, les méninges, les os du crüne, S3-81.