Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/48

Cette page a été validée par deux contributeurs.

mains, ses bras, sa gorge, et, au moment de repartir, me donne, en pleurant, d’un seul baiser, toute son âme… Mais je ne sais pas encore s’il est exact, — comme elle me l’a raconté, — qu’elle ait, sur sa peau de nacre, trois signes noirs : le premier, au-dessus du genou ; le second, au sommet de la jambe ; le troisième…