Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/40

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XI

ANCH’ IO SON’ PITTORE


Ni hier, ni à présent, ni demain… ? Alors, vous serez, toujours, la Très Sage ?… Alors, je ne saurai jamais, de votre corps charmant, que ce que la brise du Lido m’en apprend, par hasard, quand