Page:Soulages – L’Idylle Vénitienne, 1913.djvu/121

Cette page a été validée par deux contributeurs.

donc fini, nous deux ? On est donc brouillés… bien brouillés… brouillés pour toujours ?

— Oui, pour toujours… pour toujours !

Mais je lui ai parlé à l’oreille… et elle a répondu : « Je vous déteste ! »… elle a répondu : « Je vous pardonne ! »… elle a répondu : « Je t’adore ! »


Ce fut tout un roman d’amour, chaste et triste, en trois petits chapitres, — une minute, — à l’ombre d’une rose.