Page:Sophocle (tradcution Masqueray), Tome 2.djvu/450

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Cyllène. — Tu ne prétendras pas…

(Lacune de neuf vers. Dans les deux trimètres mutilés qui suivent, les interlocuteurs revenaient aux génisses dérobées à Apollon.)

Cyllène. — Qui les a, misérable ? (Lacune.)

Le Coryphée. — L’enfant qui est enfermé là dedans.

Cyllène. — Cesse de dire du mal du fils de Zeus.

Le Coryphée. — Je ne cesserai que lorsqu’on aura consenti à faire sortir les génisses.

Cyllène. — Tu m’assommes, toi et tes génisses.

(Ce qui suit est perdu sauf quelques lettres. Les débris de la colonne XVII laissent entrevoir que Silène et le chœur appelaient Apollon et lui annonçaient que ses génisses étaient retrouvées : le dieu remettait à ses Limiers la récompense promise.)