| ET A LA CHINE. Liv. IV. | 195 |
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dos & du croupion ſont couleur de terre d’ombre ; les petites
plumes des ailes ſont d’un verd ſoncé chatoyant ; la moins longue
des grandes plumes des ailes eſt de la même couleur, les deux
ſuivantes ſont d’un gris terreux ; les plus grandes, ainſi que la
queue, ſont noires ; l’iris eſt rouge ; le bec eſt rouſsâtre, & les
pieds ſont noirs.
Le Martin Vieillard de la cou de Malabar.
Cet oiſeau eſt un peu moins gros que le précédent ; les plumes de la tête & du col ſont longues, étroites, d’un gris cendré, marquées par une ligne longitudinale blanche ; le dos, le croupion, les petites plumes des ailes & la queue ſont d’un gris cendré ; les grandes plumes des ailes ſont noires ; la poitrine, le ventre & les couvertures de la queue en-deſſous ſont d’un rouge brun rouſsâtre ; le bec eſt noir, lavé de jaune à ſon extrémité ; l’iris & les pieds ſont jaunes.
Cet oiſeau ſe trouve à la côte de Malabar.
Le Merle jaune de la Chine.
Cet oiſeau eſt de la taille du Merle d’Europe ; tout ton ^claird ſous le ventre; le tuyau des plumes eſt blanc ; l’œil eſt entouré de petites plumes blanches; à i’angle ſupérieur du bec, il naît une bande noire qui ſe prolonge & ſe termine en pointe, un peu au-delà de l’œil ; riris eſt grisâtre; le bec & les pieds ſont rouges.
Le grand Gobe-mouches de la côte de Malabar.
J’ai conservé à cet oiſeau le nom de Gobe-mouches qu’il
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