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ou d’une Adèle qui est blonde, qui est ronde, avec des yeux folichons. Comme on pouvait les applaudir sur ces scènes vulgaires, on s’est dispensé, dans les quartiers bas, de l’ascension de la Butte. Une autre clientèle, l’élégante, l’opulente, a fait mieux : elle a commandé à domicile les chanteurs en veston. Ils sont venus, au dessert, dans les hôtels somptueux, à la suite de Potel et Chabot. Ils ont fait partie du menu traditionnel. Comme ils se gardaient bien d’endosser l’habit noir, tenue réglementaire des chanteurs aux soirées, et qu’ils débagoulaient, avec timidité, quelques vocables risqués, on a eu, dans le monde, la parfaite illusion des cabarets où, auparavant,