Gris-blanc ; né dans l’Orne en 1863 ; par Bayard, à M. Perpère ; sa mère Jeanne, par Porthos, à M. Fromentin. Appartenant à M. Hérisson.
Blanc ; né dans l’Orne vers l’année 1823 ou 1824 ; ayant appartenu à M. Miard père, à Villers-en-Ouche (Orne). C’est à cet étalon remarquable que l’on doit, plus qu’à tout autre, une grande amélioration de la race. Il était reconnu comme un vrai Percheron et néanmoins était un descendant direct du fameux étalon arabe Gallipoly, du haras du Pin, en station au château de Coësme, près Bellême. (Pour plus d’informations sur ce cheval remarquable, voir le livre : Cheval Percheron, de M. Charles du Haÿs.) Jean-le-Blanc mourut chez son propriétaire, M. Miard père, à l’âge avancé de 32 ans, exempt de toute tare. En parcourant ce livre, on trouvera que le plus grand nombre des bons chevaux élevés dans le Perche depuis cinquante ans ont Jean-le-Blanc pour ancêtre. Ce fait démontre que la supériorité qu’a atteinte la race percheronne, dépassant toutes les autres races de chevaux de trait comme excellence, provient en grande partie des influences régénératrices de l’Arabe fortifiées par des accouplements judicieux et consanguins.
Noir ; né dans l’Orne en 1878 ; par Brillant 756, lui par Coco II 714 (voir Coco II) ; sa mère Cocotte. Appartenant à M. Louis Gautier.
Gris-pommelé ; né dans l’Eure-et-Loir en 1881 ; par Narbonne 777, lui par Brillant 756, lui par Coco II 714 (voir Coco II) ; sa mère Brillante, par Brillant 756, etc. Appartenant à M. Ernest Perriot.
Gris-noir ; né dans l’Eure-et-Loir en 1883 ; par Brillant 756, lui par Coco II 714 (voir Coco II) ; sa mère Margot, par Charlot, à M. Ricquois. Appartenant à M. Hubert aîné.
Gris-foncé ; né dans l’Orne en 1880 ; par Sansonnet, à
