Page:Société agricole et scientifique de la Haute-Loire - Mémoires et procès-verbaux, 1881-1882, Tome 3.djvu/313

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
304
mémoires

semblée du xx aoust 1673, reçeu par Me Robert Rochette, notaire royal, touchant les enterremans de Mes Jean et Pierre Falcimaigne frères, et des leurs ; et qu’il sera permis aud.  Sr Pierre Falcimaigne et aux siens d’estandre son tombeau mantionné aud. acte d’assemblée, en cas de besoin. Et moyennant led. payement et deslivrance des susd. ornemans, auxd.  conditions, mon héritier en sera valablemant deschargé.

Plus, je lègue et donne la somme de trante livres, une fois, à la susd. chapelle de S. Jacques appartenant à mad. famille, pour estre employée le plus utilemant qui se pourra aux réparations d’icelle ; laquelle somme sera payée par mon heritier, lorsque lesd. réparations se fairont, qui par ce moyen en sera valablemant deschargé. Dans laquelle chapelle je veux estre posé le tableau où je me trouveray represanté, lors de mon décez, après lesd. réparations faictes.

Plus, je lègue et donne la somme de dix livres, une fois, à la confrérie du très auguste, adorable, et ineffable S. Sacremant de l’autel, instituée dans lad. esglise de S. Julien, pour estre employée en ce qui sera le plus utile à lad. confrérie, ou reservée pour cela entre les mains de Mr le thrésorier d’icelle, selon l’advis de Mrs les officiers, laquelle somme de dix livres sera payée par mon héritier, quarante jours après mon decez, et ainsi deschargé du présent légat.

Plus, je lègue et donne autre somme de dix livres, une fois, à la chapelle et confrérie du S. Rosaire, dans l’esglise paroissialle de Notre Dame dud. Brioude, pour estre employée le plus utilement qui se pourra pour lad. confrérie, suivant l’advis de Mr le curé de lad. esglise et des officiers ou officieres de lad.  confrérie, laquelle somme de dix livres sera payée, quarante jours après mon decez, par mon héritier au thrésorier de lad.  confrérie.

Plus, je lègue et donne autre somme de dix livres, une fois, à la confrérie appellée la Généralle, érigée en l’honneur de la glorieuse assomption de la sacrée mère de Dieu, dans le dioceze de S. Flour, pour estre employée le plus utilemant qui se pourra