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01 - Yu[1]
02 - K’i[2]
03 - T’ai-kang
04 - Tchong-k’ang[3]
05 - Siang
06 - Chao-k’ang
07 - Tchou[4]
08 - Hoei
09 - Wang
10 - Sie
11 - Pou-kiang
12 - Kiong[5]
13 - Kin
14 - K’ong-kia[6]
15 - Kao
16 - Fa
17 - Li-koei[7]
- ↑ Se-ma Ts’ien ajoute que Yu était le [] (c’est-à-dire, d’après le Dictionnaire de K’ang-hi, le petit-fils de l’arrière-petit-fils) de Hoang-ti. Mais cette indication ne s’accorde pas avec la généalogie qui précède.
- ↑ « Il battit le prince de Hou ; il fit la harangue de Kan ». — Cf. tome I, n. 02.308 et pp. 164. -165. . — Dans cette note et dans les suivantes, le texte mis entre guillemets est la traduction littérale du texte de Se-ma Ts’ien.
- ↑ « Frère cadet de T’ai-k’ang. »
- ↑ Tchang Cheou-tsie ajoute ici la note suivante : L’empereur Siang avait été anéanti par Kouo-kiao ; sa femme Min-koei était enceinte ; elle enfanta Chao-k’ang dont le fils, Tchou, reprit l’œuvre de Yu. — Cf. tome I, n. 02.321.
- ↑ « Frère cadet de Pou-kiang. »
- ↑ « Il était fils de Pou-kiang ; il aimait ce qui concerne les mânes et les dieux ; il était débauché ; il n’aimait pas la vertu ; les deux dragons se retirèrent. » Cf. tome I, p. 168.
- ↑ « Il n’est autre que Kie. » Cf. tome I, n. 02.330. . — « Depuis Yu jusqu’à Kie, il y eut dix-sept générations ; depuis Hoang-ti jusqu’à Kie, vingt générations. »