- Tsing, 188. — Tch’en Tch’ai[1], *K’ing, 154 ; il meurt cette année même, sans laisser de descendants.
19. (102) I-ling. — Ou Tch’eng[2], 17 octobre 198[3]. — Ou Tchong, 191 ; meurt en 181, sans laisser de descendants.
20. (49) Jen[4]. — Tchang Yue, 201 ; dégradé en 185.
21. (4) Jou-yn. — Hia-heou Yng, *Wen, 13 février 201. — Hia-heou Tsao, *I, 171. — Hia-heou Ts’e, *Kong, 164. — Hia-heou P’o, 133 ; dégradé en 115.
22. (105) Kai-fong. — T’ao Che, *Min, 18 février 196. — T’ao Ts’ing, *I, 195. — T’ao Yen, *Tsie, 147. — T’ao Heou-soei, 134 ; dégradé en 112[5].
23.(139) Kan-ts’iuen[6]. — Wang King, *Yen, 19 juillet 195. — Wang Mo-yao[7], *Tai, 188. — Wang P’iao[8], 169 ; dégradé en 147.
24. (65) Kao-hou. — Tch’en Fou-k’i, 201. — Tch’en Tch’eng, *Chang[9], 175 ; meurt en cette même année, sans laisser de descendants.
25. (100) Kao-King. — Tcheou Tch’eng, 22 mai 198[10] ; meurt en 159, après avoir projeté de se révolter. — Tcheou Yng, petit-fils de Tcheou Tch’eng, est nommé marquis de Cheng en 149. — Tcheou P’ing, fils du précédent, lui succède à une date inconnue ; il est dégradé en 119[11].
- ↑ B (n° 82) : Tch’en Kiang.
- ↑ B (n° 98) : Ou Yng.
- ↑ B (n° 98) : 9e année, 9e mois, jour ping-tse, ce qui est faux.
- ↑ Si l’on s’en tenait au texte des Mémoires historiques, il semble que le nom de ce marquisat fût, non pas Jen, mais Jen-heou ; cependant le texte du Ts’ien Han chou (n° 47), quoique lui-même fautif, donne à entendre que le mot Jen représente à lui seul le nom de ce marquisat.
- ↑ B (n° 102) : T’ao Heou-soei aurait pris le pouvoir en 130 (ce qui est exact) et aurait été dégradé en 118 (ce qui est faux).
- ↑ B (n° 133) : ce marquisat est appelé King.
- ↑ B (n° 133) : Wang Tchen-nien.
- ↑ B (n° 133) : Wang Hing.
- ↑ B (n° 63) : *Yang.
- ↑ Cette date est celle du Ts’ien Han chou (n° 96). Les Mémoires historiques donnent la leçon : « la 9e année, le 4e mois, au jour ping-yn », ce qui est faux.
- ↑ B (n° 96) : 118 avant J.-C.